Enalya
Nombre de messages : 26 Age : 29 Maitre/inu/Neko de : // Date d'inscription : 10/02/2008
Feuille de votre personnage Age de votre personnage: 14 ans Signes particuliers: Timide, passée inconnu, yeux envoutants... Situation (inclut Maître(sse)/Inu/Neko de): Neko en attente d'une âme charitable pour l'héberger sous son toit...
| Sujet: Par un bel après midi ensolleillé [Pv : Akira Tenkazu] Mar 12 Fév - 0:23 | |
| Où cela se passait ? Dans un endroit sombre, un lieu dans lequel une odeur de mort règne. Personne n’aurait voulu se retrouver ici, pour rien au monde. Et pourtant !... C’était en réalité une animalerie, mais une animalerie assez spéciale pour une raison simple : la principale marchandise de cette boutique en coin de rue, ce n’était pas des chiens, des lapins ou des chats habituels… Leurs marchandises n’étaient autres que des êtres hybrides créés par la main de l’homme, une main gigantesque pour faire d’immenses bêtises. On trouvait donc dans ce lieu des cages, par centaine, entassés les unes à côté des autres. C’était une cacophonie de son divers : entre les bruits de l’extérieur de la boutique tel les voitures, les pleures des nekos, et les cris d’un des vendeurs qui s’arrachait les cheveux ; il fallait réussir à dominer tout ce brouhaha pour s’entendre !
Mais à qui cela arrivait-il donc ? On pouvait remarquer, seulement si on y prêtait vraiment attention, une petite cage un peu à l’écart. Quelqu’un passant furtivement aurait surement cru que cette cage était vide, mais c’était loin dans être le cas. En effet, au fond de celle-ci reposait une petite créature au corps frêle et fatigué. Une jeune neko d’à peine quatorze ans était arrivée la veille, entre la vie et la mort. Comme bien d’autre de ses compères, on l’avait enfermée dans une de ces cages minuscules aux barreaux de fers glacés. La neko était recroquevillée sur elle-même au fond de la cage, grelottante car complètement trempée et à moitié terrorisée. Depuis son arrivée, elle ne s’était pas fait remarquer, ce qui arrangeait les vendeurs qui avaient d’autres chats à fouettés. Le sol de la cage était plus ou moins recouvert d’une sorte de paille. Dans un coin de celle-ci, un des vendeurs passé ce matin avait déposé une sorte de pâté visqueux et gluant à l’allure peu appétissante dans une gamelle de ferraille. Sur une petite pancarte accrochée sur les barreaux de la cage, on pouvait lire :Que se passait-il exactement dans ce lieu désolé ? Très bonne question… Mais qui aurait pu exactement le savoir ? Vous auriez tendance à répondre les vendeurs mais, avez-vous réellement réfléchis à ce sujet ? Les trois vendeurs de cette boutique, c'est-à-dire M. Mekcman, son fils et Mlle Lalby s’occupaient de la boutique. M. Meckman était, ce qu’on pouvait appeler le patron, mais il n’était plus tout jeune. Il avait les cheveux grisonnant de la cinquantaine et encore une carrure assez impressionnante, surtout lorsqu’il était habillé de son costume favoris gris à rayures horizontales violettes. Ensuite, on pouvait rencontrez le fils de M. Mekcman, le jeune Jess. S’était surement le vendeur le plus sympathique de la boutique, quoi qu’ayant aussi son propre caractère. C’était un jeune grand, brun, très séducteur et aussi calculateur. Ce dernier don était très utile selon lui dans le métier qu’il exerçait. Enfin, il y avait Mlle Lalby. La vingtaine, fine et élancée, des formes bien féminines, une bonne partie des hommes tombaient à la renverses devant les attribues de cette jeune femme, qui n’est qu’une employé de l’animalerie. Dès à présent, je pense que vous pourrez remarquer la cupidité de ces vendeurs alors, non, ce ne sont surement pas eux qui vont savoir ce qui se passe… Les nekos peut-être ? Non, encore moins. Une bonne partie d’entre eux étaient complètement déstabilisés et avaient perdus tous leurs repaires. Comment voulez vous donc que des êtres si perdus puisse savoir cela ? D’accord, certains nekos avaient vraiment de la résistance, mais tous n’avaient pas le goût de la liberté…
Mais que se passait-il donc dans cette animalerie alors ? A vous de voir pour cela, seul le destin peut décider et seul lui serait également capable de vous expliquer ce qui se déroulait à quinze heure de l’après midi, dans une journée ensoleillée comme celle là… | |
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